Dans une société ultra connectée, terreau du multitâches et de la simultanéité, où tout nous pousse à ignorer notre rythme intérieur, j’invite parfois mes coachés à plus de lenteur, propice à l’introspection et à la rencontre. Ralentir le rythme implique d’accepter que les choses puissent se faire sans nous. Cela oblige à concilier nos envies et nos limites personnelles (mes besoins pour être pleinement présent/e, mon niveau d’énergie, …) et universelles. Concrètement cela pose la question du choix, et avec elle, celle de la priorisation : qu’est-ce qui compte vraiment pour moi? Si j’étais amené/e à disparaître demain, qu’est-ce que je voudrais avoir accompli? Une invitation à rester en contact avec ses rêves avec audace et combativité…